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Geneviève de Gaulle-AnthoniozLettres à une amie : correspondance spirituelleLes lettres de Geneviève de Gaulle Anthonioz sont des confidences sur sa vie spirituelle. Ces extraits ont été choisis pour que soit manifestée la source profonde de son union à Dieu, qui portait ses engagements publics auprès de ses camarades déportés, à ATD Quart Monde à la suite du Père Joseph, et soutenait son action pour les droits de l'homme, en particulier pour les plus pauvres. Comme l'écrit le Cardinal Georges Cottier dans sa préface: " Le cœur du message, cette rencontre du mal, est l'occasion d'une découverte par cette âme de foi d'un mystère encore plus abyssal, le mystère de l'amour miséricordieux (...) C'est à répondre à cet amour que nous aideront les lettres discrètes et si fortes recueillies dans le présent volume ".
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EAN 9782845733220 | Date de parution 10 Octobre 2005 | Nombre de pages 170 pages | Format 21 x 14 cm |
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Geneviève de Gaulle-Anthonioz |
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Née le 25 octobre 1920 à Saint-Jean-de-Valériscle (Gard), Geneviève Germaine Marie Agnès de Gaulle est décédée le 14 février 2002 à Paris. Nièce de Charles de Gaulle, résistante française, elle a été déportée en 1944 au camp de concentration de Ravensbrück. Après la guerre, présidente de l’Association nationale des anciennes déportées et internées de la Résistance (ADIR), elle suit les procès des criminels nazis en Allemagne, puis participe à l’essor du mouvement politique lancé par son oncle, le RPF. En 1958, elle travaille au cabinet d'André Malraux quand elle rencontre le Père Joseph Wresinski, alors aumônier du bidonville de Noisy-le-Grand. Dans les souffrances des familles qu'elle y découvre, elle revoit celles qu'elle-même et d'autres déportés ont vécues. Alliée au mouvement ATD Quart Monde, puis volontaire permanente, elle en est présidente de 1964 à 1998. En 1987, elle témoigne sur la barbarie nazie lors du procès de Klaus Barbie. Nommée en 1988 au Conseil économique et social, elle se bat pendant dix ans pour l’adoption d’une loi d’orientation contre la grande pauvreté. Reportée en 1997 pour cause de dissolution de l’Assemblée nationale, la loi est votée en 1998. Le 21 février 2014, le président François Hollande devrait annoncer le transfert de sa dépouille au Panthéon aux côté des résistants Pierre Brossolette et Germaine Tillion ainsi que de l'ex-ministre Jean Zay. |
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