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Emmanuel CazanaveUnité de l’univers et unité de l’Eglise, une lecture la Summa contra gentilesCollection ICThèses
Le travail que nous nous proposons d’accomplir est de lire le texte de la Summa Contra Gentiles en lui demandant en quoi il concerne l’ecclésiologie sans pour autant le faire en collectant les lieux explicites de l’ecclésiologie. Dans la première partie de cette œuvre, saint Thomas parlant des vérités accessibles à la raison seule, affirme que « la fin (immanente aux choses créées), c’est la distinction et l’ordre des parties de l’univers, et comme sa forme ultime » (SCG II, 42,5). L’Aquinate va jusqu’à affirmer que cet ordre est la chose la plus belle et la plus grande dans l’univers. Cet ordre immanent aux choses créées et vers lequel elles marchent sous le gouvernement de la providence, ne serait-il pas comme une disposition offerte à un dessein surnaturel : l’unité de toutes choses entre elles et avec Dieu que l’on appelle L’Église ?
THESE DE DOCTORAT DE L'INSTITUT CATHOLIQUE DE TOULOUSE, sous la direction de Mgr Charles Morerod, op, évêque de Lausanne-Genève-Fribourg (Suisse).
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EAN 9782889189489 | Date de parution 16 Mars 2017 | Nombre de pages 300 pages | Format 15,2 x23,5 |
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