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Jacques Maritain, Raïssa MaritainDe la vie d'oraisonCe petit traité a été édité hors commerce dès 1922 comme directoire des «Cercles d'études thomistes». Sa destination première touche le public intellectuel chrétien; d'où sa première partie, brève et solide: «De la vie intellectuelle et de l'oraison». La deuxième partie: «De la vie spirituelle» marque un élargissement, signalé par Maritain dans l'édition française de 1933. Elle peut constituer une aide amicale et simple pour laisser le travail (notamment intellectuel) et l'union à Dieu s'unifier, se nourrir, se féconder. L'édition actuelle, préparée pour qui ne lit pas le latin, est tout indiquée à ceux dont la vocation contemplative reste ignorée d'eux-mêmes… et de leurs directeurs. La troisième partie contient des notes de théologie spirituelle précises et discrètes sur l'habitation des Personnes divines dans l'âme (p. 73) et l'éveil à la contemplation (p. 81). Les textes sur la contemplation comme non-agir (Jean de la Croix) et activité suprême (Thomas d'Aquin) sont de la meilleure veine maritanienne.
Traduit en tchèque, espagnol, italien, portugais.
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EAN 9782911940323 | Date de parution 14 Mai 1998 | Nombre de pages 120 pages | Format 19 x 11 cm |
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Jacques Maritain |
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| Jacques Maritain (1882-1973) est un philosophe français. Converti au catholicisme, il fut, contre la philosophie matérialiste et le bergsonisme, un des principaux interprètes du thomisme. Il a abordé, en humanisme chrétien, les problèmes de l'expérience et de la philosophie religieuses, de l'esthétique et de la politique. Il fut ambassadeur de France auprès de Saint-Siège de 1945 à 1948. |
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De la vie d'oraison - POCHE |
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La pensée de saint Paul - poche |
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Pour une philosophie de l'éducation |
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La pensée de saint Paul |
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De la vie d'oraison |
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Raïssa Maritain |
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| Né à Paris, petit-fils de Jules Favre, Jacques Maritain fait des études de philosophie et de sciences à la Sorbonne, et suit, au Collège de France, les cours d’Henri Bergson, dont il devient un disciple remarqué. Agrégé de philosophie de 1905. A la Sorbonne, il rencontre Raïssa Oumançoff (née en 1883 en Russie), fille d’émigrés juifs arrivés à Paris en 1893. Ils se marient en 1904. Jacques et Raïssa, accompagnés de Véra, la sœur de Raïssa (1886-1959), qui vivra avec eux, entrent dans l’Église catholique par le baptême le 11 juin 1906. Ils découvrent la pensée philosophique et la théologie du penseur médiéval Thomas d’Aquin, qu’ils se voueront à promouvoir et continuer à travers tous les domaines de la philosophie. Leur maison de Meudon est un foyer spirituel d’accueil et d’amitié où ils reçoivent célébrités ou inconnus, artistes, intellectuels, venus de tous horizons et de tous pays, croyants ou incroyants. |
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